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Jean-Michel Basquiat

Œuvres sur papier

Jean-Michel Basquiat

Œuvres sur papier

Commissaire(s) d’exposition :

Enrico Navarra

Le Musée Maillol consacre une exposition aux œuvres sur papier de Jean-Michel Basquiat, auxquelles l’artiste attachait une importance toute particulière. Pour la première fois Paris verra, les dessins de l’un des artistes les plus importants de sa génération.

Certains pensaient que Jean-Michel Basquiat devait beaucoup au mythe, en oubliant ou en feignant d’oublier, que c’est précisément son œuvre qui lui a donné sa dimension. D’autres ont écrit que sa notoriété profitait de sa négritude. Mais si être noir favorisait quoi que ce soit, y compris l’entrée daris les musées et l’enthousiasme des collectionneurs, cela se saurait depuis longtemps.

Jean-Michel Basquiat n’a pas de couleur, il est de toutes celles qu’il a inscrites dans son œuvre.

Aujourd’hui encore, certains soulignent avec complaisance que la toxicomanie de Jean-Michel Basquiat l’a accompagné jusqu’aux portes de la mort. De toute évidence, chez lui comme chez bien d’autres, cette dépendance à la drogue ne révèle qu’un profond malaise et n’apporte au débat que détresse et souffrance. Elle n’a en tout cas rien provoqué, rien révélé, rien facilité dans son œuvre, sinon qu’il fallait un talent fou pour continuer à créer en dépit de ses lents ravages. S’il y fait allusion sur la toile ou le papier, ce n’est jamais pour en faire l’apologie, il ne crédite la drogue d’aucun bienfait, d’aucune vertu. Peu à peu, au contraire, apparaît dans ses travaux le spectre de la mort vers laquelle elle l’entraîne inexorablement.

Son œuvre sur papier, parfaitement autonome, révèle une spontanéité et une intimité profondes et très touchantes. Les thèmes qu’il affectionne, souvenirs autobiographiques, les « black héros », les bandes dessinées, les dessins animés, les planches anatomiques, les graffitis, l’argent, le racisme, la mort… se déploient d’une façon encore plus présente et plus authentique dans ses œuvres sur papier ; sujets qu’il puise dans toutes les cultures et sur tous les continents.

Nous aimerions que cette exposition permette, à un public encore plus large, de mieux appréhender le travail de l’un des artistes majeurs de cette fin de siècle.

Le Musée Maillol consacre une exposition aux œuvres sur papier de Jean-Michel Basquiat, auxquelles l’artiste attachait une importance toute particulière. Pour la première fois Paris verra, les dessins de l’un des artistes les plus importants de sa génération.

Certains pensaient que Jean-Michel Basquiat devait beaucoup au mythe, en oubliant ou en feignant d’oublier, que c’est précisément son œuvre qui lui a donné sa dimension. D’autres ont écrit que sa notoriété profitait de sa négritude. Mais si être noir favorisait quoi que ce soit, y compris l’entrée daris les musées et l’enthousiasme des collectionneurs, cela se saurait depuis longtemps.

Jean-Michel Basquiat n’a pas de couleur, il est de toutes celles qu’il a inscrites dans son œuvre.

Aujourd’hui encore, certains soulignent avec complaisance que la toxicomanie de Jean-Michel Basquiat l’a accompagné jusqu’aux portes de la mort. De toute évidence, chez lui comme chez bien d’autres, cette dépendance à la drogue ne révèle qu’un profond malaise et n’apporte au débat que détresse et souffrance. Elle n’a en tout cas rien provoqué, rien révélé, rien facilité dans son œuvre, sinon qu’il fallait un talent fou pour continuer à créer en dépit de ses lents ravages. S’il y fait allusion sur la toile ou le papier, ce n’est jamais pour en faire l’apologie, il ne crédite la drogue d’aucun bienfait, d’aucune vertu. Peu à peu, au contraire, apparaît dans ses travaux le spectre de la mort vers laquelle elle l’entraîne inexorablement.

Son œuvre sur papier, parfaitement autonome, révèle une spontanéité et une intimité profondes et très touchantes. Les thèmes qu’il affectionne, souvenirs autobiographiques, les « black héros », les bandes dessinées, les dessins animés, les planches anatomiques, les graffitis, l’argent, le racisme, la mort… se déploient d’une façon encore plus présente et plus authentique dans ses œuvres sur papier ; sujets qu’il puise dans toutes les cultures et sur tous les continents.

Nous aimerions que cette exposition permette, à un public encore plus large, de mieux appréhender le travail de l’un des artistes majeurs de cette fin de siècle.

Le catalogue

Catalogue

Jean-Michel Basquiat
Œuvres sur papier

Jean-Michel Basquiat

Œuvres sur papier

Commissaire(s) d’exposition :

Enrico Navarra

Le catalogue

Catalogue

Jean-Michel Basquiat
Œuvres sur papier

Le Musée Maillol consacre une exposition aux œuvres sur papier de Jean-Michel Basquiat, auxquelles l’artiste attachait une importance toute particulière. Pour la première fois Paris verra, les dessins de l’un des artistes les plus importants de sa génération.

Certains pensaient que Jean-Michel Basquiat devait beaucoup au mythe, en oubliant ou en feignant d’oublier, que c’est précisément son œuvre qui lui a donné sa dimension. D’autres ont écrit que sa notoriété profitait de sa négritude. Mais si être noir favorisait quoi que ce soit, y compris l’entrée daris les musées et l’enthousiasme des collectionneurs, cela se saurait depuis longtemps.

Jean-Michel Basquiat n’a pas de couleur, il est de toutes celles qu’il a inscrites dans son œuvre.

Aujourd’hui encore, certains soulignent avec complaisance que la toxicomanie de Jean-Michel Basquiat l’a accompagné jusqu’aux portes de la mort. De toute évidence, chez lui comme chez bien d’autres, cette dépendance à la drogue ne révèle qu’un profond malaise et n’apporte au débat que détresse et souffrance. Elle n’a en tout cas rien provoqué, rien révélé, rien facilité dans son œuvre, sinon qu’il fallait un talent fou pour continuer à créer en dépit de ses lents ravages. S’il y fait allusion sur la toile ou le papier, ce n’est jamais pour en faire l’apologie, il ne crédite la drogue d’aucun bienfait, d’aucune vertu. Peu à peu, au contraire, apparaît dans ses travaux le spectre de la mort vers laquelle elle l’entraîne inexorablement.

Son œuvre sur papier, parfaitement autonome, révèle une spontanéité et une intimité profondes et très touchantes. Les thèmes qu’il affectionne, souvenirs autobiographiques, les « black héros », les bandes dessinées, les dessins animés, les planches anatomiques, les graffitis, l’argent, le racisme, la mort… se déploient d’une façon encore plus présente et plus authentique dans ses œuvres sur papier ; sujets qu’il puise dans toutes les cultures et sur tous les continents.

Nous aimerions que cette exposition permette, à un public encore plus large, de mieux appréhender le travail de l’un des artistes majeurs de cette fin de siècle.

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Musée Maillol, 2021

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