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Pop Art - Icons that matter

Collection du Whitney Museum of American Art, New York

Pop Art - Icons that matter

Collection du Whitney Museum of American Art, New York

Commissaire(s) d’exposition :

David Breslin
Carrie Springer

Initiée par la célèbre sculptrice et mécène Gertrude Vanderbilt Whitney (1875-1942), la collection du Whitney Museum of American Art de New York offre une véritable anthologie de l’art américain du XXe siècle. Cette collection comporte des pièces maîtresses du « Pop Art ». Peintures, sculptures, estampes… une soixantaine de ces œuvres seront présentées pour la première fois à Paris, au Musée Maillol du 22 septembre 2017 au 21 janvier 2018.

Des figures majeures du mouvement Pop Art, Robert Rauschenberg et Jasper Johns, aux sculptures et toiles monumentales de Claes Oldenburg, Tom Wesselmann, James Rosenquist et Alex Katz, en passant par les peintures et sérigraphies d’Andy Warhol, les œuvres de Jim Dine et de Roy Lichtenstein, l’exposition illustre le Pop Art dans l’art américain de l’après-guerre, du début des années soixante à la fin des années soixante- dix. Si l’exposition convoque ses plus grands représentants, elle permet également de découvrir des artistes américains moins connus en France (George Segal, Rosalyn Drexler, May Stevens, John Wesley…).

L’ensemble des œuvres réunies au musée Maillol présente ainsi des techniques et propositions artistiques variées et révèle ainsi la diversité des approches rassemblées sous le terme générique et pratique de « Pop Art ».

Au début des années soixante, les États-Unis voient émerger en l’espace d’une décennie une génération d’artistes en réaction à l’expressionnisme abstrait qui domine à l’époque. La société de consommation se développe parallèlement à la croissance économique. C’est dans ce contexte que le Pop Art va émerger. Les artistes du courant Pop représentent généralement les objets du quotidien et les signes de la culture de masse populaire, recourant aux techniques employées dans la publicité, la bande dessinée, convoquant des éléments textuels… Ce mouvement artistique se caractérise aussi par ses aplats de couleurs uniformes dans des tons francs, intenses, tranchants, selon une technique qu’on appellera le hard-edge. Il affirme sa croyance en la puissance des images, et c’est souvent avec humour, parfois avec ironie, qu’il se réapproprie des figures iconiques comme Jackie Kennedy ou Marilyn Monroe et dépeint « the American way of life » pour le célébrer et le critiquer en même temps.

« Le Pop Art regarde le monde, il semble accepter son environnement qui n’est ni bon ni mauvais, mais différent. Un autre état d’esprit », commente Roy Lichtenstein.

« Le Pop est tout ce que l’art n’est plus depuis deux décennies. Il s’agit véritablement d’une volte-face, un retour à une communication visuelle représentative, se déplaçant à une vitesse ébouriffante dans des modèles récents et pointus. C’est un brutal retour en arrière vers le Père, après une exploration abstraite de l’Utérus pendant 15 ans. Le pop art est un ré-engagement dans le monde. C’est se débarrasser de la bombe. C’est le Rêve Américain, optimiste, généreux et naïf… » résume à sa façon Robert Indiana.

Initiée par la célèbre sculptrice et mécène Gertrude Vanderbilt Whitney (1875-1942), la collection du Whitney Museum of American Art de New York offre une véritable anthologie de l’art américain du XXe siècle. Cette collection comporte des pièces maîtresses du « Pop Art ». Peintures, sculptures, estampes… une soixantaine de ces œuvres seront présentées pour la première fois à Paris, au Musée Maillol du 22 septembre 2017 au 21 janvier 2018.

Des figures majeures du mouvement Pop Art, Robert Rauschenberg et Jasper Johns, aux sculptures et toiles monumentales de Claes Oldenburg, Tom Wesselmann, James Rosenquist et Alex Katz, en passant par les peintures et sérigraphies d’Andy Warhol, les œuvres de Jim Dine et de Roy Lichtenstein, l’exposition illustre le Pop Art dans l’art américain de l’après-guerre, du début des années soixante à la fin des années soixante- dix. Si l’exposition convoque ses plus grands représentants, elle permet également de découvrir des artistes américains moins connus en France (George Segal, Rosalyn Drexler, May Stevens, John Wesley…).

L’ensemble des œuvres réunies au musée Maillol présente ainsi des techniques et propositions artistiques variées et révèle ainsi la diversité des approches rassemblées sous le terme générique et pratique de « Pop Art ».

Au début des années soixante, les États-Unis voient émerger en l’espace d’une décennie une génération d’artistes en réaction à l’expressionnisme abstrait qui domine à l’époque. La société de consommation se développe parallèlement à la croissance économique. C’est dans ce contexte que le Pop Art va émerger. Les artistes du courant Pop représentent généralement les objets du quotidien et les signes de la culture de masse populaire, recourant aux techniques employées dans la publicité, la bande dessinée, convoquant des éléments textuels… Ce mouvement artistique se caractérise aussi par ses aplats de couleurs uniformes dans des tons francs, intenses, tranchants, selon une technique qu’on appellera le hard-edge. Il affirme sa croyance en la puissance des images, et c’est souvent avec humour, parfois avec ironie, qu’il se réapproprie des figures iconiques comme Jackie Kennedy ou Marilyn Monroe et dépeint « the American way of life » pour le célébrer et le critiquer en même temps.

« Le Pop Art regarde le monde, il semble accepter son environnement qui n’est ni bon ni mauvais, mais différent. Un autre état d’esprit », commente Roy Lichtenstein.

« Le Pop est tout ce que l’art n’est plus depuis deux décennies. Il s’agit véritablement d’une volte-face, un retour à une communication visuelle représentative, se déplaçant à une vitesse ébouriffante dans des modèles récents et pointus. C’est un brutal retour en arrière vers le Père, après une exploration abstraite de l’Utérus pendant 15 ans. Le pop art est un ré-engagement dans le monde. C’est se débarrasser de la bombe. C’est le Rêve Américain, optimiste, généreux et naïf… » résume à sa façon Robert Indiana.

Le catalogue

Catalogue

Pop Art
Icons that matter

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Collection du Whitney Museum of American Art, New York

Commissaire(s) d’exposition :

David Breslin
Carrie Springer

Le catalogue

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Pop Art
Icons that matter

Initiée par la célèbre sculptrice et mécène Gertrude Vanderbilt Whitney (1875-1942), la collection du Whitney Museum of American Art de New York offre une véritable anthologie de l’art américain du XXe siècle. Cette collection comporte des pièces maîtresses du « Pop Art ». Peintures, sculptures, estampes… une soixantaine de ces œuvres seront présentées pour la première fois à Paris, au Musée Maillol du 22 septembre 2017 au 21 janvier 2018.

Des figures majeures du mouvement Pop Art, Robert Rauschenberg et Jasper Johns, aux sculptures et toiles monumentales de Claes Oldenburg, Tom Wesselmann, James Rosenquist et Alex Katz, en passant par les peintures et sérigraphies d’Andy Warhol, les œuvres de Jim Dine et de Roy Lichtenstein, l’exposition illustre le Pop Art dans l’art américain de l’après-guerre, du début des années soixante à la fin des années soixante- dix. Si l’exposition convoque ses plus grands représentants, elle permet également de découvrir des artistes américains moins connus en France (George Segal, Rosalyn Drexler, May Stevens, John Wesley…).

L’ensemble des œuvres réunies au musée Maillol présente ainsi des techniques et propositions artistiques variées et révèle ainsi la diversité des approches rassemblées sous le terme générique et pratique de « Pop Art ».

Au début des années soixante, les États-Unis voient émerger en l’espace d’une décennie une génération d’artistes en réaction à l’expressionnisme abstrait qui domine à l’époque. La société de consommation se développe parallèlement à la croissance économique. C’est dans ce contexte que le Pop Art va émerger. Les artistes du courant Pop représentent généralement les objets du quotidien et les signes de la culture de masse populaire, recourant aux techniques employées dans la publicité, la bande dessinée, convoquant des éléments textuels… Ce mouvement artistique se caractérise aussi par ses aplats de couleurs uniformes dans des tons francs, intenses, tranchants, selon une technique qu’on appellera le hard-edge. Il affirme sa croyance en la puissance des images, et c’est souvent avec humour, parfois avec ironie, qu’il se réapproprie des figures iconiques comme Jackie Kennedy ou Marilyn Monroe et dépeint « the American way of life » pour le célébrer et le critiquer en même temps.

« Le Pop Art regarde le monde, il semble accepter son environnement qui n’est ni bon ni mauvais, mais différent. Un autre état d’esprit », commente Roy Lichtenstein.

« Le Pop est tout ce que l’art n’est plus depuis deux décennies. Il s’agit véritablement d’une volte-face, un retour à une communication visuelle représentative, se déplaçant à une vitesse ébouriffante dans des modèles récents et pointus. C’est un brutal retour en arrière vers le Père, après une exploration abstraite de l’Utérus pendant 15 ans. Le pop art est un ré-engagement dans le monde. C’est se débarrasser de la bombe. C’est le Rêve Américain, optimiste, généreux et naïf… » résume à sa façon Robert Indiana.

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